Mes croyances font que depuis toujours, quand je tombe malade, je mets ma confiance dans des médicaments pharmaceutiques. Tylenol pour un mal de tête, Advil pour mes règles, capsules rhume et sinus pour casser un rhume, etc.
En février, quand l’inflammation est apparue dans mon corps, j’ai eu le réflexe de me demander quelle pilule je pourrais prendre pour m’aider, puis j’ai voulu consulter un médecin. Le médecin m’a tout d’abord refusé les prises de sang demandées en m’invitant à revenir 4 à 6 semaines plus tard, si l’inflammation était toujours là. Je l’ai pris comme un encouragement à explorer d’autres voies que celle de la médecine traditionnelle, car il était certain que je n’allais pas rester là à rien faire et à endurer la douleur pendant 6 semaines.
De toute façon, depuis un moment déjà, une autre croyance commençait à prendre de plus en plus de place en moi: celle que par la maladie, mon corps me parle. Mon mal-a-dit et au lieu de me soi-nier, je désirais gai-rire (c’est par des lectures de Jacques Salomé que les mots « soigner » et « guérir » ont pris ce sens. Ce jeu de mot ne vient pas de moi).
J’explore donc tous les fronts auxquels je peux penser : émotionnel, spirituel et physique.
Pour explorer le côté physique, je rencontre deux spécialistes de la boutique À fleur de vie ainsi qu’une naturopathe, puis je lis des livres et regarde des vidéos sur l’inflammation. Ces démarches me mènent à croire que certains aliments sont plus inflammatoires que d’autres – je fais donc le choix de couper les produits laitiers et de diminuer grandement le gluten. Pour pousser l’expérience au maximum, suite à des tests d’intolérances alimentaires qui m’encouragent à couper les œufs, je décide aussi de couper tout produit animal de ma consommation à la maison.
Je me questionne aussi sur les produits naturels qui peuvent aider à diminuer le feu en moi, et j’intègre donc plus de curcuma et de gingembre à ce que je mange, tout en prenant un supplément de bouleau à tous les jours pour nettoyer mes reins, ceci suite aux conseils d’une naturopathe.
Tranquillement, je commence aussi à croire que peut-être la présence du stérilet avec hormones dans mon corps peut être néfaste – je le fais donc enlever, et je me réinscris au gym car selon moi, l’exercice est essentiel pour garder ma mobilité et maintenant ma flexibilité ainsi que pour renforcer mes articulations.
J’ai aussi travaillé les fronts émotionnels et spirituels en parallèle, alors je ne sais pas ce qui a réellement eu un impact positif sur ma douleur, mais je peux témoigner de ceci: 3-4 semaines après ces changements alimentaires et physiques, mon corps a commencé à aller radicalement mieux.
Je vous raconte le reste de mes explorations dans un prochain article.
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Jeudi 16 juillet Accompagnement humain, Histoire de vieSpiritualité 0 Commentaires
Un reproche qui vient d’abord de l’extérieur, puis qui s’installe à l’intérieur, imposant en nous la croyance que cette phrase est vraie.
Lundi 16 avril Accompagnement humain, Histoire de vieSpiritualité 0 Commentaires
Je n’aurais jamais pensé être amenée à aller aussi loin dans cette façon de vivre ma vie et à ouvrir les mains si grandes.
Mardi 6 janvier Accompagnement humain, Histoire de vieSpiritualité 0 Commentaires
Je me demande, parfois, c’est quoi le sens de la vie.
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